L’École martiale et le Sortilège du corbeau blanc

Oeuvre martiale 2012

Le corbeau d’habitude je le hais
Mais tout de même…
Ce matin sur la neige…

Basho

Chapitre 1 - L'arbre à 2 branches et l'homme au corbeau

Introduction

Chapitre 2 - La prophétie de la boule de cristal

Débutants 5 à 7 ans

Chapitre 3 -La fuite ou la capture?

Intermédiaires - 1 X semaine

Chapitre 4 - Le duel des baguettes magiques

Débutants 2 fois par semaine

Chapitre 5 - L'envoûtement

Intermédiaires - 2 X semaine

Chapitre 6 - Délivrance

Groupe des avancés

Résumé et sens de l'oeuvre

Au pays de la Sorcellerie, depuis la mort de l’arbre à deux branches, grand confident des sorciers et sorcières du village, pas une pénombre ni un crépuscule ne passent sans que l’homme au corbeau blanc ne vienne rôder dans les parages… Qui est donc cet étrange personnage ? Certains le craignent et le fuient, d’autres le pourchassent et tentent de le rattraper, lui, toujours, passe, indifférent.

Inspirée de l’univers du célèbre Harry Potter, l’œuvre L’École martiale et le Sortilège du corbeau blanc propose à la fois un original dialogue artistique entre le goju-ryu (karaté-do traditionnel), le théâtre, la musique et les arts plastiques en même temps qu’une réflexion philosophique sur notre perception souvent bien limité du « bien » et du « mal ». N’y a-t-il pas toujours un bon et un mauvais côté à toute chose ? En modifiant notre perception, le « bon » peut-il devenir le « mauvais » et l’inverse ? Ce que je considère comme étant le bon, l’autre peut-il le percevoir comme le mauvais ? N’avons-nous pas trop souvent tendance à étiqueter les évènements comme les êtres, à enfermer en vase clos, à ne tenir compte que d’une seule facette du prisme de la réalité ?

Nos vies en déséquilibre. Nous sommes-nous jetés un mauvais sort en acceptant de vivre à cette vitesse affolante ? Cette accélération croissante de nos quotidiens nous a-t-elle fait oublié la raison de la course ? Que cherchons-nous à fuir ? Accordons-nous assez de place aux questions du sens de la vie ? Où ce tourbillon de vouloir toujours en faire plus, faire mieux, plus vite encore, nous entraînera-t-il ? Et si nous prenions le temps de ralentir, de se reposer à l’ombre sous le vert feuillage, d’entendre le croassement d’espérance du corbeau et de se rendre compte qu’il n’est pas si noir que nous le croyions…


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